Comment un lolicon empêcha la seconde guerre mondiale.

*Verrouille l’accès a l'avion, prend sa couverture et s’endort dans l'avion*
"Le lendemain matin"

Le lendemain on se réveille tôt, l'invasion n'attend pas, j'en profite pour aller réveiller la gamine en tapant sur son avion.

-Réveille-toi, on va bientôt bouger.

Merde j'avais oublier l'interprète n'est pas là... Pas grave, j’attends qu'elle se réveille.

*Vois une Russe a côté de l'avion, et une fois l'information enregistrer, un cri retenti* Ouah tu m'as fait peur! *J'ouvre l'avion* Merci de m'avoir réveiller soldat! *je commence a essayer de lui faire comprendre que j'ai besoin de carburant et de munition*

Elle me remercie, enfin je suppose puis commence à faire des gestes et tout...

Je met un moment avant de comprendre.

-Ah, du ravitaillement pour ton engin, bouge pas je reviens.

Je vais voir un de ceux qui s'occupent du ravitaillement et en profite pour ramener l'interprète, je lui dis de dire à l'allemande que son ravitaillement va arriver, donc je pars à mon tank et m'en occupe avec mon équipe.

*Après le ravitaillement et la préparation de l'avion, je me mis en place pour décoller et décolle pour faire de la reconnaissance, une fois cela fait j'envoie les infos a l'unité blindé*

On reçoit les infos sur la reco et on pars pour la ville, donc tout le monde commence à bouger.

"Onii-chan! Dépêches toi ou on va arriver trop tard!..."
La gamine un brin effrontée assise sur le siège passage piaffait d'excitation... Faut dire depuis le temps que je lui promet de l'emmener voir le tir des feux d'artifices des 3 méga-citées depuis le haut d'une montagne.
"Tu veux que j"ailles plus vite hein ? bah... accroches toi!"
la pédale s’enfonçât sans résistance et la voiture sembla quitter le sol un cour instant, puis ils se retrouvèrent collé au fond des sièges par la puissance de l’accélération.
La gamine semblait être habitué a cette conduite, et avait l'air d’apprécier même.
Sans que rien ne le laissa le prévoir, un brin cinglant d'acier se casant se fit entendre, en même temps que la voiture commençait a zigzaguer.
"BORDEL" Le conducteur poussa ce juron qui résonnât dans tout l'habitacle, en même temps que celui de la tôle qui se froisse en entrant en contact avec le granit de la montagne.
Je vis la scène au ralentit, le capot se déformer, le pare brise se volatiliser, le tableau de bord se cassant par endroit et se rapprocher de nous...
Je réussis par je ne sais quel miracle a attraper le frein à main, et permettre a le voiture de ne pas finir de s’emplâtrer grâce au dérapage provoqué.
je vis aussi ma portière disparaitre lors d'une autre touchette, puis le vide du ravin, qui semblait m'engloutir...
Je sentais aussi le vent de plus en plus présent, trop...
Puis la lumière s'intensifia, jusqu'à devenir aveuglante.
Un temps je ne ressentit plus rien, j'entendais juste un énorme bruit métallique, la voiture qui finit de se broyer surement.
La lumière, devint soudainement mois violente, je distingue mal ce qui m'entoure, une chose est sur, je suis plus balloté dans tous les sens, juste de bruit de ferraille hurlant désespérément.
Mes yeux fonctionnent de nouveaux, je les frottes pour tenter de dissiper le flou qui règne, et reste paralysé devant le spectacle m'entourant.
A à peine 4 cm de mon nez, un engin tout en métal, qui me rappel les véhicules blindés conservé dans les musés, vient de s'immobiliser...

Attend c'est moi ou.....

Y a un mec devant notre tank ?
Bon il à l'air inoffensif mais je vais pas prendre de risque, j'ouvre la trappe et descend devant lui, il est habiller bizarre mais bref, j'ai mon pistolet braquer sur lui et je lui fais signe de se lever.

-T'es qui ?

Quelqu'un s'extirpe du l'engin... Une fille... avec des cheveux blanc et une culotte de la même couleur. (mes yeux fonctionnent parfaitement, sa me rassure ^^)
Elle porte une sorte d'uniforme, tient quelque chose qui ressemble à une arme et me fait signe de me lever.
Bien que je ne comprend pas ce qu'elle me dis, ou plutôt me cries dans cette cohue métallique, je décides qu'il est plus prudent de suivre son ordre gestuelle et je me lève doucement.

Ok il comprend rien, ça va faciliter les choses, je le prends par le bras et le traîne avec moi un peu plus loin dans un camion avec des soldats à l'intérieur.

-On l'élimine pas, on le garde pour plus tard.

Je l’assomme et le file aux soldats qui le mettent dans le camion, et repars dans mon char et on attaque la prochaine ville.

*s’écroule en ayant une culotte blanche comme dernière vision*

*atterris pour ravitailler, je vois le traducteur me dire qu'un prisonnier bizarre est capturer* Bizarre pourquoi cela? " il apparu devant le char de l'unité que vous protégez" Hum je vois pas ce qu'il y a d'anormal, on ne voit pas tout avec un char vous savez! Bon je repars. *demande par la radio aux chars* Hé dis moi pas trop surpris? Comment ça s'est passer? Le grand amour? ahahahahahah!

Juste avant qu'on attaque l'allemande me fait chier.

-Ferme-là, je l'ai juste assommer, on s'en occuperas plus tard, en attendant on a des gens à buter.

Et on fait l'attaque de la première ville d'aujourd'hui.

Après la ville on fait une pause, et m'appelle à la radio justement de venir à propos de ce prisonnier, pour l'interroger et que y aura l'allemande, qu'est-ce qu'elle vient foutre là celle-là ?

Bref, je pars pour la tente où on nous a appeler.

*Communique a la radio a son commandant* Oui monsieur, un prisonnier jamais vu ça j'ai eu accès a l'interrogatoire, il a l'air très suspect, d'après les Russes. "Vous êtes inutile! On s'en fout des prisonniers! Mais c'est trop tard, si il est vraiment intéressant faite moi un rapport, d'accord?" Oui! *Après avoir atterris je rejoins le lieu ou se trouve le prisonier*

Je suis dans la tente et y a l'allemande à côté.

-L'interroger ? Apparemment il me comprend même pas....

-Tirez-en ce que vous en pouvez.

Je fais le salut et pars vers l'endroit où y a le prisonnier suivi de l'allemande, avec le traducteur.
Une fois à la tente je regarde le prisonnier, il est attacher par terre, je lui met un coup de pied dans le ventre pour le réveiller, ce qui marche.

-Bon c'est toi l'allemande, fais ton boulot.

*Le traducteur avais pris soin de m'amener les outils pour faire parler le prisonnier, je pris un outils que j'apprécie vraiment, celui qui arrache les ongles, juste douloureux et horrible a vivre je pris aussi un tout petit marteau, puis je m'approche du prisonnier et parle en anglais* Tu viens de où?

Je regarde la gamine, et ben... Ils apprennent tôt là-bas ce genre de truc, en plus avec ça...

Je rigole quand je la vois avec ces outils.

Malgré la douleur au ventre (une chance qu'elle ai pas visé plus bas), je ne pus m’empêcher d'admirer les longues et fine jambe de la fille de tout a l'heure...
Elle dit quelque chose qui pour l'instant ressemble a de la bouillie de consonnes, à une autre fille.
Celle ci et plus petite, avec une longue queue cheval brune, vêtue d'une sorte d'habit tout en cuir, elle est mignonne, mais elle le serait encore plus si elle n'avait pas ce regard sombre qui semble vous aspirer, et ses outils dans les mains.
Elle pose sur moi un regard qui fait preuve d'une détermination a toute épreuves, et me dis quelque chose, dans une langue qui me rappel quelque chose, mais que je n'arrive pas a identifier à cause du bourdonnement dans mes oreilles.
Je tentes de m'assoir, j'aurais pas dû, prit d'une violente nausée, je repend le contenu de mon estomac a leurs pieds.

*tout en Anglais* Hé tu as m'as presque toucher *Je pris le prisonnier et l'allonger dans son vomit, parle en allemand* Tu crois que tu vas pas payer pour ça? *j’essuie le vomit avec le le corps de prisonnier, tente de parler en français* Alors tu viens de où?

Incroyable la force que cette petite peut avoir, sa me rappel l'entrainement aux interrogatoires...
elle me dit des choses dans divers langues il me semble, mais toutes a part une me rappel quelque chose.
Je croise encore une fois les yeux de cette étrange fillette, et j'ai le pressentiment que je dois dire quelque chose, quand un bruit assourdissant m'en empêche.
Des gens cours dans tous les sens l'air affolé, un moment un homme entre dans la tente et dit quelque chose a la fille aux cheveux blanc, celle ci se précipite alors dehors a toute vitesse, pendant que l'homme qui accompagne l'autre fille lui dit aussi quelque chose.
cela semble l’exaspérer, elle se relève, me colle un coup de botte en cuir dans le visage et sort a son tour, l'air furibonde.

*voit une contre offensive de la part de la Pologne, surement leurs dernière attaque avant la fin* Et la pilote de chars couvre moi!! *Cours vers le prisonnier, l'attrape, et pars vers l'avion* Encore un petit peu! *Monte dans l'avion et prend le prisonnier sur mes genoux, parle dans toute les langues que je connais* Accroche-toi! *Démarre l'avion et demande un soutien pour le décollage*

-Bande de cons...

On va bouffer la Pologne, mais la c'est l'allemande, elle veut se barrer, je monte dans l'avion et la saisit par le col.

-Tu te barre pas avec lui !

On est pris par surprise par les polonais, mais on va les bouffer.

Mais j'empêche l'allemande de décoller, sauf si elle veut décoller avec moi.

-Tu te barre pas...

*Regarde la Russkof, sors le pistolet et lui tire dessus, et la pousse* Non mais... *Démarre l'avion et décolle assez rapidement, puis appelle la base allemande* Demande une autorisation pour rentrer assez rapidement. C'est possible? "Demande autoriser allez a l'aéroport prévue pour votre retour"

-Salope !

Putain j'ai pris un coup... Et c'est violent, mais elle va se barrer.

Je prend une grenade et la jette à l'intérieur de l'avion et regarde l'avion et fais le salut alors qu'il s'en va.

-En revoir mon amie !

Je comprend rien a ce qui se passe.
Pourquoi ces filles se battent pour moi (sa fait quand même plaisir a mon ego ^^) ?
Je la sens qui bouge en dessous de moi (c'est pas désagréable comme expérience^^). J’essaie de me retourner pour comprendre.
Elle regarde a un endroit précis, je le fait aussi. Un objet empêche la fermeture de l’espèce de bulle en verre qui nous domine.
apparemment c'est cet objet qui lui fait peur.
Ne sachant ni pourquoi, ni comment, je parviens a remonter une de mes jambes et a donner un coup de pied dedans, ce qui lui rend sa liberté... Quelque secondes plus tard un bruit sourd se fait entendre.
Je me retourne pour voir la jeune fille, la découvre avec un visage médusé.